samedi 31 octobre 2009

Journée mondiale sans voiture

1.
2. En 1998 se créa la journée mondiale sans voiture à cause de l´augmentation de la pollution du CO2 émis par la voiture et l´effet serre aperçu dans l´air. Cela fit chercher un moyen pour le descendre et, la journée mondiale sans voiture apparut. Mais le nombre de villes participantes descendait chaque année c´est pour ça que se créa la semaine mondiale de la mobilité en 2007 du 17 au 22 mais les gens continuent à utiliser la voiture même si dans quelques villes le moyen de transport le plus utilisé est le vélo. Le CO2 continue a monter et la terre continue a être polluée par les hommes qui préfèrent s´accommoder dans leur voiture au lieu de faire un peu de sport qui est bon pour la santé et ne pas polluer la planète


1.Lieu: internet
Page: journée mondiale
Article: 22 septembre: journée mondiale sans voiture
2. le texte est fait grâce à ce que j´ai lu un peut partout et à mes connaissances personnelles

vendredi 30 octobre 2009

La journée mondiale sans voitures



Les risques de changement climatique ont fait l'objet de nombreux débats au cours de ces dernières années. On pense que le changement climatique a commencer par les émission de gaz a effet de serre et le CO2. Les émissions de CO2 on fortement augmentés dans ces années La réduction de ces émissions, en particulier sont grâce a la réduction de la technologie. Un changement climatique correspond à une modification durable du climat global de la Terre ou de ses divers climats régionaux. Cela est dû aux activités humaines. Tout cela altère la composition de l'atmosphère de la planète. Le climat se définit comme une description des moyennes et des extrêmes météorologiques en un endroit limité. Le climat est naturellement variable comme en témoigne l'irrégularité des saisons d'une année sur l'autre. Le climat a aussi avoir avec des courants océaniques, aux éruptions volcaniques, au rayonnement solaire et à d'autres composantes du système climatique encore partiellement incomprises.



Joure:30/10/09
Page:http//:www.frwikipedia.org/wiki/Changement_climatique
http//:www.ifp.fr/actualites/dossiers/le-co2

dimanche 18 octobre 2009

Inégalités du Sud

1.

Les trois-quarts des 800 millions d'affamés dans le monde sont des paysans de pays pauvres qui n'arrivent presque pas à nourrir leurs familles. Bien sûr on peut en imputer la cause aux conditions difficiles de la pratique agricole dans certains pays du Sud : des sols peu riches, un manque crucial d'eau, etc. Bien sûr, on peut mettre en cause le manque de productivité de ces agriculteurs. De fait, entre un agriculteur américain travaillant de façon totalement mécanisée une surface de plusieurs centaines d'hectares de riz et son collègue sénégalais qui cultive son hectare avec des outils à main, la différence de productivité est gigantesque. L'agriculteur sénégalais a besoin de vendre une partie de sa récolte pour faire face aux dépenses familiales de base. A quel prix va-t-il vendre son riz ? A un prix fixé à l'échelle internationale, un prix qui est fixé en référence à la productivité de son collègue américain, sans rapport aucun avec le temps et la valeur du travail de l'agriculteur sénégalais. Et au fil des années, ce prix a tendance à baisser, au fur et à mesure que la productivité des agricultures riches s'améliore. Et donc, au fil des années, l'agriculteur sénégalais vendra une part plus importante de sa production pour maintenir son pouvoir d'achat. 2.

1.Lieu : internet Page : el proyecto matriz Article: OGM: violación de la soberanía alimentaria Adresse : elproyectomatriz.wordpress.com/.../

2.Lieu: internet Page: Pluriel Article: la faim dans le monde est aussi un problème de règles économiques Adresse: http://pluriel.free.fr/asplib10.html

jeudi 15 octobre 2009

La faim dans le monde


Une personne sur huit, aujourd'hui dans le monde, ne mange pas à sa faim. Ce thème est une tragédie humaine et mondiale en ce début de vingt-et-unième siècle. A ces huit cent millions d'affamés, il faut rajouter un milliard deux cents millions de personnes qui souffrent de carences alimentaires graves. Comme par exemple la sous nutrition et la malnutrition. Ceci touche au total deux milliards d'êtres humains. Les trois-quarts des 800 millions d'affamés dans le monde sont des paysans. Des petits paysans d'Afrique, d'Amérique latine et d'Asie. Mais aussi la faim est produite par la manque d’agriculture et d’eau. Aussi elle est produite par la richesse du pays, par exemple en Amérique l’agriculture est faite avec des machines, mais en Afrique l’agriculture est faite à main. Dans les pays pauvres les prix baissent, et dans les pays riches les pris montent.

Date: 2/10/09
Page: internet
Adresse: http://pluriel.free.fr/asplib10.html

jeudi 1 octobre 2009

Le développement durable

1.
Crise écologique et sociale
Les pays développés savent déjà les conséquences du développement durable depuis les chocs pétroliers de 1973 et 1979. Le matérielle qu’ils avaient utilisé pour le faire était basée sur l'utilisation intensive de ressources naturelles finies, mais ils avaient oublié l'environnement.. Pour certains analystes le développement industriel ne soutien pas le plan environnemental, car il ne permet pas un "développement" qui puisse durer. Les points cruciaux en faveur de cette affirmation et l’utilisation des ressources naturelles (matières premières, énergies fossiles pour les humains). Tous ca provoque la multiplication des catastrophes naturelles (inondations, tempêtes, canicules) et l'élévation du niveau des océans sont des manifestations du changement climatique.
1.lieu: internet
page: Provence-Alpes-Côte d´Azur notre région
article: Développement durable

La Terre, notre planète, va mal, et c’est de notre faute.


Aujourd’hui, la grande majorité de l’humanité vit toujours dans la pauvreté. Des millions de femmes, d’hommes et d’enfants n’ont ni eau potable, ni électricité, ni éducation, ni assez à manger… Mais si tous les habitants de la terre vivaient comme nous, il faudrait deux planètes supplémentaires pour satisfaire leurs besoins Or, nous n’avons pas de planète de rechange. Alors, comment améliorer les conditions de vie de tous les citoyens du monde sans épuiser définitivement la Terre? Comment satisfaire les besoins des hommes d’aujourd’hui tout en léguant la Terre en bon état aux générations qui l’habiteront après nous ? En apprenant à économiser et à partager de manière équitable les ressources, en utilisant les technologies qui polluent moins, qui gaspillent moins d’eau et moins d’énergie, et surtout en changeant nos habitudes de consommation et nos comportements. C’est cela, le développement durable. Ce n’est pas un retour en arrière, mais un progrès pour l’humanité : celui de consommer non pas moins, mais mieux. Il est devenu urgent d’agir. Nous en avons tous les moyens. Et surtout, le devoir.